Extrait
C’est le jour
Le ciel est immense
On entend des voix
A cause de toutes ces fenêtres
Qui sont ouvertes sur l’azur
Il s’en faudrait d’un rien
Pour que la paix entre tout droit
Et que le temps étouffe ses pulsations
Alors la ville
Baignerait dans le calme
Et une très grande douceur
Nous poignerait le cœur lentement
BIBLIOGRAPHIE
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éd. Fondamente, 2008
Couverture du livret : Silène, encre de Françoise Laux